L'orage est parfois plaisant [ PV Nessie ]

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Forks, tout le monde la connais comme étant une petite ville où la pluie tombe toujours à longueur de journée. Une journée ensoilée se fait tellement des plus rares, comment en espérer une ? Les Cullen qui sont d'origine à ne pas aimer le soleil et ses rayons flambloyants, la pluie est toujours mieu acceuillit. Enfin pour Emmet Cullen, c'est le cas. Un homme bien bâti avec un sourire toujours accroché aux lèvres, du moins c'est comme cela qu'on le définit dans ses jours heureux. Aujourd'hui il pleuvait à en boire debout, le tonnerre accompagné des gouttes de pluie donnait un sens à cette journée, surtout que la nuit tombait. Tout le monde qui connait Emmett sait parfaitement que pluie ammène Baseball et Baseball ammène Emmett. Toute la journée Emmett était resté chez lui dans les bras de Rosalie à lui chuchoter des mots d'amours attendant impatiemment que cette nuit tombe, la nuit de l'année, la plus humide, celle qui était annoncé depuis des lustres. Emmet l'attendait et n'en parlait que depuis des semaines. Portant des joggins avec un t-shirt blanc aux manches courtes et sa fameuse casquette chanceuse la palette reviré vers derrière il était prêt. C'est lorsque l'horloge sonna les 2oh que Emmet se leva d'un bond prêt à prendre une course a fin de se rendre jusqu'au '' terrain '' où habituellement lui et sa famille s'amusait à en perdre haleine en jouant au baseball. Enfin, il était arrivé. Ouvrant la portière du jeep.

'' Oufff, depuis le temps que j'attendais ça ! ''

il n'avait certes pas la grâce de sa plus jeune soeur Alice, mais comme tout les vampires de la lignée des Cullen il y avait toujours un peu de grâce qui accompagnait ses membres. Il était seul , les autres allaient-ils le rejoindre ? Peu importe, il n'allait jamais manquée cette soirée dont le tonnerre n'avait jamais grondé aussi fort. Cela ne faisait qu'à peine 2 minutes qu'Emmet était débarqué de son jeep marchant le long du terrain qu'il était déjà trempé de la tête aux pieds. Son bâton de baseball entre les mains tenant la balle dans l'autre il se possitionna et commença à jouer seul comme il l'avait fait parfois dans ses débuts dans la famille Cullen, ça avait toujours été son point fort et sa manière de se défoulé. Enfin il recommançait le même manège sans arrêter.

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(C'est court, disowlée... Mais jdois y aller.)

La journée avait été affreuse. Contrairement aux autres Cullen, je ne me plaisais pas particulièrement dans la pluie. Cette journée n’avait donc rien pour me plaire, heureusement que la tombée de la nuit approchait. J’irais au lit dans quelques heures et me réveillerais sur un nouveau jour pluvieux. Avec un soupire, je jetai un coup d’œil à l’orage qui battait encore dehors. Le ciel d’un noir opaque me rappelait certaines représentations de l’apocalypse et la pluie torrentielle hachurait le paysage à mes yeux. C’était sans compter le vent qui menaçait de déraciner les arbres entourant la demeure blanche de ma famille, le tonnerre assourdissant et les éclairs aveuglants qui déchiraient le ciel. Je soupirai à nouveau et m’assis, les jambes croisées, sur mes draps noirs et roses où gisaient plusieurs livres que j’avais lus pendant la journée. Il y avait, entre autres, ‘Interview with the Vampire’ et ‘Les Sang-Bleus’. J’aimais lire les représentations ridicules que se faisaient les humains des vampires.

La journée avait été longue. Jasper et Alice avaient passé la journée dans leur chambre, de même qu’oncle Emmett et tant Rose. Maman et papa étaient je ne savais trop où alors que Carlisle avait accompagné grand-maman Esmé visiter des maisons abandonnées qu’elle pourrait rénover. Moi, j’avais lu, relu, téléphoné à Jake, lu et relu…

Je fus sortie de mes pensées par le vrombissement caractéristique du moteur de l’énorme jeep de mon oncle. Bondissant à la fenêtre, je vis Emmett quitter le garage et emprunter le chemin de terre quittant le manoir. Curieuse, je dévalai l’escalier jusqu’à l’entrée, attrapai un manteau et m’élançai dehors. Je courus à toute jambe dans la pluie fouettante, tête baissée, suivant les traces de pneu enfoncées profondément dans la boue.

Quelques minutes plus tard, j’atteins le terrain de baseball où mon oncle jouait seul. Avec un sourire, je courus à toute vitesse et lui sautai sur le dos, lui posant les mains sur les yeux.

-Devine qui c’est! m’exclamais-je en riant.

Je le serrai fort et me penchai en avant pour lui saisir la balle des mains. Je la lançai de toutes mes forces.

-Attrape! Fis-je sans regagner le sol.

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Il faut avouer que pour un homme comme Emmett, les parties de baseball seul n'était pas toujours les meilleures qu'on pouvait avoir dans une journée. Lancer la balle et aller la chercher comme le ferait gentilment un chien n'étais pas tellement dans mon style. Je continuais quand même, puisqu'aucun membre de ma famille n'était assez intelligent pour penser que je m'amusais comme un fou sous la pluie en ce moment seul. Moi qui avait attendu cette journée si impatiemment. Mes espadrilles pleine de boue je me penchais pour ramasser la balle sur le sol, c'est alors qu'une petite chose me sauta sur le dos. Enfin plusieurs personnes aurait pu croire qu'une aussi petite chose était lourd puisqu'elle pesait un bon 40 kg, mais son poid contre mon dos ne faisait qu'aussi léger qu'une plume. C'était amusant. Le choc qu'elle avait fait cependant en me sautant sur le dos, m'avait fait ramener de lourdes taches de boue contre ma joue. Je riais aux éclats. C'était sans aucun doûte la petite fille qui me rendait le plus heureux de la terre. Oui oui, je vous jure. Ma petite nièce Renesmée. Malgré les lourds enjeux qu'avait ammené sa naissence, c'était notre cadeau du ciel à nous les Cullen. Renesmée était une jeune fille qui metait chaque jour un peu d'éclats dans nos vies moroses. Toujours un de ses sourires à vous faire fondre collée sur la bouche, mais ce n'était jamais forcée. Oui comme toute les petites filles de son âge, enfin l'âge physique et mental qu'elle démontrait, elle avait parfois ses petites bouderies et tout, mais fille D'Edward et de Bella faisait d'elle la petite fille la plus merveilleuse de la terre, on se demandait pourquoi un cabot comme Jake pouvait l'aimer, c'était très évident, surtout qu'avec un oncle comme moi, c'est certain que personne ne pouvait la détester, Mais bon , haha. Suffit de penser, pour une fois que je m'y mettais. J'avais quand même une plume sur le dos qui essayait de me voler la balle, Au moins fini de jouer au chien chien seul. Lui laissant gentilment la balle faisant un semblant d'efforts de forcer avec une fausse moue triste qu'elle ait réussi à me la voler, j'essayait de lui enlever ses petites mains de mes yeux.

'' Ce n'est sûrement pas Renesmée, puisqu'elle est supossée être à la maison. '' m'exclamais-je en jummelant mon rire au sien

Trop tard, encore appuyée contre mon dos, la balle était déjà loin dans la forêt. Moins loins que ce que Rosalie aurait pu frapper, mais pour une jeune fille, elle avait une sacrée force. C'est alors que je me mis à courire de toute mes forces, Nessie appuyée contre mon dos.

'' C'est ce que je vais faire aussi '' répondis-je avec une voix sûr de moi-même

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'' Ce n'est sûrement pas Renesmée, puisqu'elle est supossée être à la maison. ''

Je laissai échapper un rire cristallin alors que mon oncle se redressait pour suivre des yeux la balle que j’avais lancée.

' C'est ce que je vais faire aussi 'répondit-il à mon ordre de la poursuivre.

Il s’élança à la poursuite de la boule blanche qui fendait le ciel et commençait à redescendre. Je poussai un cri de joie alors que nous fendions l’air à une vitesse inhumaine, la pluie fouettant mon visage, la bourrasque faisant flotter mes cheveux imbibés d’eau. Mes vêtements détrempés, un jean ajusté d’un bleu sombre et un manteau blanc de designer, se salissaient de boue. Mais comme je me sentais libre, ainsi transportée par la masse de muscles qui me servait d’oncle adoré à une vitesse qui m’était autrement inaccessible. On y était presque.

-Plus vite, le pressais-je sans quitter la balle des yeux.

Une idée me traversa l’esprit. Je posai ma petite main brûlante sur sa joue glaciale et lui transmis l’image de lui-même volant avec moi sur son dos, fendant le ciel et rencontrant les oiseaux colorés. C’était de cette façon que je me sentais en courant avec un vampire. C’était un rêve que j’aimerais réaliser : voler, haut, très haut. Très haut et très vite. Toucher les nuages, atteindre le soleil.

Je sentis les muscles de mon oncle se contracter alors qu’il se préparait à attraper la balle de baseball. Un sourire fendit mon visage.

Posant mes mains sur ses épaules musclées, je me propulsai des les airs, tendis le bras et refermai ma main sur l’objet sphérique. Une exclamation triomphale sortit de ma bouche. Mais je n’avais pas fini mon ascension et m’élevai encore pendant une seconde ou deux avant que la gravité reprenne ses droits sur mon corps pour m’entraîner à une grande vitesse vers l’herbe mouiller. J’entammai de retomber les trois mètres que j’avais atteins en espérant que mon oncle aie la brillante idée de me rattraper. D’ailleurs, c’était tout à son intérêt de veiller à le faire car s’il m’arrivait quoi que ce soit et que papa – ou maman, ou Jake, ou Alice, ou tante Rose…- l’apprenait, son éternité se raccourcirait considérablement. Je serrai la petite balle blanche contre ma poitrine et me roulai en boule dans le cas où j’heurterais le sol.

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